Titre : "Machinerie"

Durée : 15 min

Public visé : tout public

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Résumé du spectacle : "La machine, c’est essentiel !

Il faut, non.

On doit.

Nous avons le devoir de faire notre travail.

Pour que la société fonctionne, il faut donner le meilleur de soi-même.

Pour notre société comme tout autre emploi, mon travail est primordial. Je le fais et je le ferai comme appris, autant de temps qu’on le jugera nécessaire. Ma mère m’a transmis la notion de travail bien fait ! Si ce n’est pas bien fait, alors ce n’est pas la peine de le faire. Nous nous devons d’être efficace et de ne pas compter, ni nos secondes, ni nos minutes, ni nos heures supplémentaires.

Mon utilité va à la société, ma vie va à mon travail.

J’aime le travail bien fait !

Que la machine nous épargne la réflexion !"

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Réverbère commente : "Le concept du festival des 48h est simple : six compagnies sélectionnées doivent créer une forme théâtrale de 15min en 48H. Cette année, le thème était le suivant - Comment se jeter à l'eau sans faire de vagues ? - et nous avions pour contrainte d'utiliser des matériaux recyclables comme accessoires. Nous nous sommes alors lancé dans la création d'une dystopie traitant de la perte d'humanité et du refoulement des émotions. L'interprétation d'Etienne Bidaux et Manon Gallay reçue de nombreux échos positifs (interprétation également relayée à la Halle Papin par Paul Larue), au point d'envisager une adaptation en court-métrage. Affaire à suivre ! "

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Informations supplémentaires : https://48henscene.fr